Blogue de Zub

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Arnaque et Cie

Chaque fois que je jette un coup d'oeil sur mes statistiques, je ne peux qu'être amusé.
Mon blog est copieusement pollué par des sites de jeux en ligne. Ceux qui sont le plus accro à ce type de site sont, et ce n'est pas une grosse surprise, les étatsuniens. Le plus drole est que certain, n'en croyant certainement pas leurs yeux, passent au peigne fin mon blog. Ouvrant les billets les uns après les autres, à la recherche de je ne sais quoi!.

Ah! le manque de culture!!!

Religion et racisme.

Avant de commencer ce billet, je tiens à dire à tous ceux qui ont une croyance divine, que mon but n’est pas de les choquer, ou de les dénigrer. Même si je ne comprends pas comment, à notre époque on peut encore croire qu’il puisse exister un ou des dieux, alors que tout démontre que nous sommes face à un archaïsme inventé, dans un premier temps pour essayer de répondre aux mystères de la nature, dans un second temps pour asservir les femmes et les hommes dans une idéologie répressive.

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Religiosité

Marie avait des idées bien arrêtées sur ce que devait être sa vie. En ce qui concernait la vie spirituelle c’était très simple : catholique pratiquant. Pas de discutions possible. Mais qui aurait discuté avec elle ? Paul ? lui ne sentait pas concerné, il était hors de question qu’il mette les pieds à l’église. A part peut être pour la messe de minuit ! Et encore !!!

Les enfants n’eurent pas voix au chapitre. Catéchisme et messe dominicales rythmèrent leurs semaines. Jean-Marie, n’ayant aucune autre référence accepta sans problème cette situation. Allant au catéchisme le mercredi après-midi, suivit, dans la cour de l’église, d’une partie de foot qu’il était bien obligé d’accepter à cause des copains.

C’est ainsi, que tous les dimanches matin les trouvaient briqués, astiqués, brillants comme un sou neuf sur le chemin de l’église. Jean-Marie garda longtemps cette habitude de se saper le dimanche, alors qu’il avait violemment rompu avec la religion.

Mais, puissance maternelle aidant, était arrivé le jour de la communion solennelle.

Préparation et répétition se succédaient à la cure et dans l’église. Les curés se démenant avec force cris pour faire rentrer dans les têtes juvéniles et retorses le rituel estimé indispensable, mais jamais réussi.

Le grand jour arriva enfin. Rien ne manquait.

Le costume croisé, le brassard, le cierge, la pochette et la croix, le missel, la dentelle et le chapelet.

Le brassard Le cierge

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Et bien entendu le photographe officiel.

Vacances, fêtes et convivialité.

Dans cette vie tranquille les vacances arrivaient à l’improviste, ponctuant le temps de périodes sans école.
L’activité principale se résumait en bains de mer à répétition.
Il y eu aussi les grandes vacances passées en France.

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La bobinette chaînera???

Moi je n'ai jamais eu droit aux couettes.
Ni aux coiffures "différentes".
C'était seulement la coupe au bol, bien dégagé derrière et sur les côtés.
Mais j'ai eu droit à la tenu excentrique:

C'est bon pour rentrer dans le club?

Blaise

3h du matin, Blaise se dirigeait en hâte vers sa voiture pour rentrer chez lui. Il se sauvait plutôt. Il fuyait la couche où Chantal restait seule, satisfaite et profondément déçue.
Comme chaque fois, il s’enfuyait après quelques heures d’érotisme débridé. Insatisfait, un sentiment de culpabilité tenace, dégoûté de lui-même, il se promettait d’en rester là. De ne plus recommencer. De rompre définitivement. Mais chaque fois son besoin de sexe reprenait le dessus...

Ce n’est pas Chantal qu’il désirait. Mais Sophie ne voulait pas reprendre leur liaison, estimant qu’elle était pleinement satisfaite de leur relation platonique. Ils s’aimaient, étaient bien ensemble, passaient de bon moment en discutions et échange divers. S’il en voulait plus et se sentait en manque, il y avait des professionnelles pour « ça » !
Il lui avait vertement répondu qu’il était hors de question qu’il paye pour ça. Qu’il lui restait donc qu’à trouver une femme qui accepterait cette situation. Elle n’avait fait aucun commentaire, seule une larme glissa sur sa joue.

Sophie l’avait invité pour son anniversaire. Prenant plaisir à préparer un repas qui, en d’autre temps, aurait pu être qualifié d’amoureux. A un moment leur discussion dériva sur les soldes qui battaient leur plein. Ils évoquèrent leurs bonnes affaires. Sophie lui proposa de reprendre, s’il le désirait, une petite polaire trop grande pour elle.

C’est quelques jours plus tard, alors qu’il cherchait de quoi se couvrir pour sortir étendre le linge, que Blaise enfila machinalement la polaire. Il défaillit. La polaire était imprégnée de l’odeur de Sophie. Il resta un long moment le visage enfoui dans le vêtement, s’efforçant à grand peine de retenir le flot de larmes brusquement jaillies. Les yeux clos, le cœur à la dérive, contristé il n’avait aucune espérance. Rien, ni personne, ne la ferait changer d’avis.

Assis dans la voiture, Blaise avait parfaitement conscience qu’il massacrait Chantal. Elle était prête à tous les sacrifices, à accepter toutes ses lubies pour l’avoir un peu auprès d’elle. Lui s’en moquait. Il sortait insatisfait de son lit. Elle n’était en rien responsable, faisant tous ce qui était en son pouvoir pour le satisfaire. Mais Blaise ne pensait qu’à Sophie. N’avait que Sophie comme amour.

Lentement, dans la froide nuit hivernale, il regagna son appartement. Il ne lui restait que peu d’heures de sommeil avant l’appel du réveil-matin.

Je veux être respecté

Je ne sais pas pour vous, mais moi je commence à être saturé par toute cette propagande religieuse distillée par les médias. Je ne vois pas pourquoi je devrais supporter toute cette indignation hypocrite sur de soi disante actions outrageantes. Je suis athée, fier de l’être et surtout je n’impose à personne ma « croyance ».
Je ne veux pas qu’on m’impose des dieux, des manières de vivre et des codes de vie. Je n’admettrais jamais qu’on m’interdise de m’exprimer. J’estime avoir le droit de critique. Pouvoir dire que la religion ne me plait pas. Que l’histoire de France en a démontrée la nocivité. Vous pouvez ne pas être d’accord et l’on peut en discuter sereinement.
Malheureusement j’ai pu constater que les « croyants » sont en général sectaires, n’admettant pas qu’on ne partage pas leur soumission à un hypothétique dieu. Je trouve aussi des plus regrettable que des individus se permettent d’afficher leurs convictions religieuses sur leurs véhicules.

Qu’ils vivent leur religiosité en paix, mais qu’ils arrêtent de crier au scandales chaque fois qu’est exprimé une opinion contraire à la leur.