Blogue de Zub

Ils furent prononcés à Strasbourg par Charles le Chauve, qui s'adresse en langue tudesque au hommes de son frère, et par Louis le Germanique, qui s'adresse en langue romane aux fidèles de Charles. Les deux frères se promettent assistance mutuelle contre les agissement de leur frère Lothaire, qui désire s'approprier l'ensemble du royaume de leur grand-père: Charlemagne.

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En cette période de rentrée, après des vacances bien méritées, je me demande s’il ne serait pas temps de vérifier si les devoirs de vacances vous ont été profitables. Donc, si vous le voulez bien, une petite question de français en forme de jeu.

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Alors que la reprise du boulot s'annonce, j'ai enfin terminé le classement de mes photos.
Et le fait de ne pas être à la chaleur ...

... permet de faire correctement "vieillir" le magret séché au poivre!

Un peu plus tard, j'ai pu aligner des saucissons savoyards à ses côtées. Mon grand regret, c'est de ne pas avoir fait de photos à temps. Au retour de ballade la pluie violente m'a contraint à déménager mon véhicule rapidement. Mais je vous rassure, les saucissons n'en avaient pas souffert et ils étaient très bon.

J'ai déjà eu l'occasion ici et là de vous faire part de mes petites malchances. Au point que je ne suis jamais surpris d'avoir des tornades de pluie pendant mes vacances.
Ma fille se mariant le mois prochain, j'ai besoin pour l'occasion de quelques vêtements sortant de l'ordinaire. Complètement et irréductiblement allergique au costard, je décidai de porter une chemise camarguaise et un pantalon en velours côtelé. Malheureusement je ne risque pas de trouver ce genre de chemise du côté de chez moi.
Après recherche sur Internet, la boutique la plus proche se trouve Marseille.

Connaissant parfaitement le diablotin facétieux qui bouscule mon ange gardien, je décide d’y aller par la route. Tout ce passe bien, je trouve assez facilement le parking le plus prés de mon but et trouve une place au niveau –5.
C’est après avoir coupé le moteur que je fut attiré par un bruit bizarre venant du moteur. Horreur un liquide visqueux coulait sous la voiture et le vase d’expansion bouillonnait à grand bruit, comme l’aurait fait le dit diablotin jeté dans de l’eau bénite.

Bon, c’est peut-être une durite qui c’est un peu défaite. Je regarderai avant de repartir.
Ma chemise achetée, de retour à la voiture, j’essayai de trouver la panne. Malheureusement ma prudence ne m’avait pas amené à prendre ma caisse à outil. Le constat était simple, il fallut faire appel à un dépanneur.

Bon quelques heures plus tard, le dépanneur passé, je pu reprendre la route et rentrer sans problème.

La plus agaçant, c’est que cette panne était complètement bénigne, et la cause stupide.

On a le droit de tirer sur un diablotin avec un fusil à pompe ?

Tomber en panne alors que l'on est en vacances est plutôt perturbateur.
C'est pourtant ce qui m'est arrivé cet été. Je savais qu'il y aurait des paramètres à surveiller. Donc pas trop surpris la première fois. De toute manière, j'avais décider de rester un certain temps dans des lieux idylliques.

Mais quand une plus sérieuse se présenta, le moral en prit un sérieux coup.

Heureusement...

... le coin trouvé était plein de charme.

Il est un fait certain, cela faisait longtemps que nous ne nous étions vu. Donc, ce soir la charmante Lilou, la Teigne de son état, est passé prendre une modeste collation chez moi. En ouverture un Chablis s'imposait. Suivi de quelques surimi, saumon mariné , carpaccio de concombre et marinade de haddock au piments, sans oublier des sardines farcis au pistou, copieusement arrosé par des blancs de Savoie et du Haut Poitou. Je ne commenterai pas le niveau atteint par ma chère amie, mais c'était "copieux".

Pour une fois, c'est moi qui n'ai pas à rentrer en voiture!!!

Hipss!!!

Eh oui. Dure fut pour Pralinette la cohabitation avec un bavard impénitent.
Heureusement il y eu les ballades dans sa chère Chartreuse.

La majesté du lieu laissant sans voix le disert babillard volubile.

Mais seule une longue méditation au pied du calvaire, la ressourça suffisament pour poursuivre la route.

Gros bisous Pralie.